Cadeau idéal pour l’amateur de grands whiskies, ce coffret renferme les trois Triple malts non tourbés de la gamme Bellevoye, référence incontournable du whisky français : Bellevoye Bleu, en...
Cadeau idéal pour l’amateur de grands whiskies, ce coffret renferme les trois Triple malts non tourbés de la gamme Bellevoye, référence incontournable du whisky français : Bellevoye Bleu, en finition « grain fin », Bellevoye Rouge en finition « Grand Cru » (Saint-Emilion) et Bellevoye Blanc en finition « Sauternes ».
Chacune de ces cuvées est issue d'une intransigeante dégustation à l’aveugle parmi une quarantaine de whiskies français (100% des composants, y compris l’orge, sont intégralement produits dans l’Hexagone). Au terme de cette sélection, trois Single malts se sont imposés comme les meilleurs ; ils proviennent d’excellentes distilleries situées dans le Nord, dans l’Est et en Charente, où a eu lieu l’élevage primaire : entre 3 et 8 ans pour Bellevoye Bleu et Bellevoye Blanc, entre 5 et 10 ans pour Bellevoye Rouge. Après assemblage, ces Triple malts ont patienté jusqu’à 12 mois dans les meilleurs fûts du chai Bellevoye, en Charente, chacun avec sa finition spécifique. Ces nobles spiritueux sont produits en très faible volume, ce qui ajoute à leur caractère exceptionnel.
La production de whisky en France n’est pas chose nouvelle. De la Bretagne à l’Auvergne, sans oublier le Belge Michel Couvreur dont les caves de vieillissement sont situées en Bourgogne, l’Hexagone offre d’intéressantes alternatives aux traditionnelles marques écossaises, irlandaises ou japonaises. Un nouveau nom s’est ajouté à la liste des « outsiders » français : Bellevoye. Un whisky né… dans le Bordelais.
Le Whisky Bellevoye est donc né de l’association en 2013 de Jean Moueix (Pétrus, groupe Duclot) et Alexandre Sirech (producteur de vins de marque ayant travaillé pour une marque de scotch dans les années 1990). Ces deux ambitieux décident d’ouvrir « une nouvelle voie pour un whisky français » en signant « un whisky, élégant, fin, peu tourbé, rond, équilibré ». Après une longue période de dégustation comparative, de recherche, de réflexion, ils décident de partir sur un whisky « triple malt ». L’idée : historiquement, toutes les marques de whisky produisaient des « blends », à savoir des mélanges de grains d’orge maltés et d’autres céréales. Après -guerre, les Écossais ouvrent la voie aux whiskies « single malt », élaborés exclusivement avec de l’orge maltée et provenant d’une seule distillerie. En s’orientant vers le « triple malt », Jean Moueix et Alexandre Sirech veulent appliquer au whisky la culture de l’assemblage propre aux grands vins de Bordeaux.